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    L’avocate Julie De Grandpré a disparu depuis trois semaines. Tout ce que l’agent Mathieu Langlois sait d’elle au moment de commencer l’enquête, c’est que dans les corridors du palais de justice, on l’appelle « la Sorcière ». Ce surnom lui aurait été attribué parce qu’elle a quitté la Couronne pour représenter la défense et qu’elle coucherait avec ses clients, des criminels.

    Qui pourrait en vouloir à une telle avocate ?

    Est-elle toujours en vie ? En suivant sa trace, l’enquêteur se fera une idée sur la jeune femme mystérieuse et ses fréquentations douteuses jusqu’à ce que deux journalistes se greffent à l’enquête et lui révèlent qu’elle est peut-être au coeur d’un scandale judiciaire.

     

     

     

    Mon Avis :

    Julie De Grandpré est-elle une si mauvaise personne ? Je ne crois pas. Est-elle du mauvais côté de la justice ? Ça d'après moi, oui.

    Suite à la lecture de ce roman de Sophie Bérubé on en viens à ce demander si ce genre de chose, l'intrigue du roman que je ne divulguerais pas, évidemment, arrive souvent en justice et j'aurais tendance à pensé que oui.

    Mathieu Langlois se fait niaiser par certain agent du SPVM ( Service de police de la ville de Montréal ) car c'est lui qui doit enquêter sur la disparition de Maître Julie De Grandpré. Pourquoi ils le niaise ? Car ils connaissent le passé de De Grandpré alias La Sorcière.

    Mathieu traite les disparut comme des clients, quelque soit la raison de la disparition, cependant, il prend de plus en plus au sérieux cette enquêtes, comme si il tombais tranquillement amoureux intérieurement de la Sorcière.

    À un certain moment de l'enquête, il va même jusqu'à embrasser une femme pour des renseignements ce qui fait en sorte qu'il passe à 2 doigts de perdre sa femme et sa fille.

    L'intrigue comporte également des gangs de rue, la mafia, violeurs ainsi que d'autre criminel.

    Perso, j'étais loin de me douter de la tournure des événements en avançant dans le livre. Nous avons des doutes, mais c'est doutes sont-ils bon ?

    En voici un extrait :
    Finalement, Marc se dit qu'il n'a pas trop perdu la main pour flatter la police dans le sens du poil. Et Paul Martel, avec son gros ego, est la cible idéale. Après quelques appels, il finit par trouver le numéro des voisins de Julie De Grandpré. Ceux qu'il réussit à contacter disent ne pas connaître personnellement la belle avocate et n'avoir rien remarqué de spécial en ce qui concerne leur voisine ou le va-et-vient autour de son appartement. Par contre, l'un d'entre eux emploie la même femme de ménage et c'est de cette façon que Marc obtient le nom et le numéro de celle-ci. Dès qu'elle comprendra qu'il est journaliste, Nancy Duhaime lui raccrochera au nez, en lui disant que c'est dégueulasse de l'appeler à ce sujet, qu'elle est déjà suffisamment traumatisée comme ça. Il pourra donc la citer dans parler de « sources policières ». En parlant avec quelques procureurs, il confirme aussi le fait qu'on surnomme la jolie disparue « la Sorcière » et qu'on la soupçonne de fricoter avec les criminels. Il sent l'excitation monter au fur et à mesure qu'il imagine le contenu de son article du lendemain. À moins d'un changement majeur, il sera titré « Magie noire ou enlèvement ? ».

    Voici ma note :

    9.5/10 car j'en aurais pris plus à la fin.

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  • À Montréal, juste avant Noel, un homme et une femme meurent le cou transpercé par ce qui semble être un instrument de torture sorti tout droit du Moyen Äge. Auparavant, ils ont entendu la voix de Lee Harvey Oswald, l'assassin présumé du président Kennedy.

    Un sans-abri se jette du haut d'un édifice de la place d'Armes. Ayant séjourné à plusieurs reprises en psychiatrie, il prétendait avoir participé, avec le FLQ, à l'assassinat de Pierre Laporte. Sur le toit, avant de sauter, il laisse deux portefeuilles, ceux des victimes.

    La série de meurtres se poursuit, les cadavres s'empilent...

    De retour à la section des crimes majeurs, le sergent-détective Victor Lessard mène l'enquête avec, pour le meilleur et pour le pire, la colorée Jacinthe Taillon.

    Je me souviens parle d'identité à bâtir, de mémoire à reconstituer et de soif d'honneur.

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    Bio de l'auteur


    Martin Michaud a quarante-deux ans et habite à Montréal. Ses deux premiers romans, Il ne faut pas parler dans l'ascenseur et La chorale du diable, ont obtenu un succès littéraire fulgurant et lui ont valu d'être reconnu comme l'un des meilleurs écrivains de romans policiers Québécois. Il revient en force avec Je me souviens, la troisième enquête du personnage qu'il a popularisé, Victor Lessard.


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    Extrait :



    - Écoutez, je n'ai pas été un de ses médecins traitants... Mais, pour en avoir déjà parlé avec des collègues, si ma mémoire est bonne, Laporte, c'était une de ses lubies. Lortie prétendait avoir participé à l'opération. Ce qui est faux, évidemment : les felquistes impliqués, on les connaît tous depuis longtemps. Vous voyez, ça, c'est un bon exemple de délire mégalomaniaque : une surestimation de soi qui n'est pas conforme à la réalité. Les inscriptions que vous avez vues sur les cartons sont donc probablement le fruit de ses délires.



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    Mon avis : Première partie


    Martin Michaud a su me charmer avec son premier polar : IL ne faut pas parler dans l'ascenseur, par contre, je n'ai pas réussi à terminé son second : La chorale du diable, peut-être si je le relisais aujourd'hui que se serait différent, qui sait ?


    Celui dont il est question aujourd'hui, j'ai adoré.


    Je me souviens est une troisième enquête de Victor Lessard, cet enquêteur formidable.


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    Extrait :



    Le sergent-détective tourna l'écran dans leur direction. Sur le site de la faculté de psychiatrie de l'Université McGill, il avait accédé à une page consacré aux recherches menées par Judith Harper. Là, parmi la liste de ses publications, deux titres avaient attiré son attention : ...



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    Mon avis : Deuxième partie


    L'histoire de ce polar est super. Nous retrouvons encore une fois Victor Lessard sur cette enquête policière avec ça comparse Jacinthe Taillon, surnommé affectueusement “La grosse Taillon”.

    Une histoire relativement sanglante puisque deux des principaux meurtres de l'enquête est fait avec une arme du Moyen Âge transperçant le cou des victimes.

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    Extrait :



    Alors qu'il voguait encore de torpeur en torpeur, on avait dessanglé Nathan Lawson du lit pour lui fixer dans le cou un collier muni d'une tige aux pointes acérées qui, pénétrant la chair de son thorax et de sa gorge, sous le menton, lui maintenait la tête vers l'arrière à un angle de quarante-cinq degrés, rendant sa déglutition pénible et l'empêchant de respirer normalement.



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    Mon avis : Dernière partie


    Les indices sont placer aux bons endroits et de façon à se que l'ont soupçonne les mauvaises personnes tout au long du roman.


    Nous voulons connaitre la suite du polar lors de la lecture tout en aillant pas le gout de le terminé.


    Nous réussissons même à s'attacher  la personne qui fait les meurtres, faut le faire de la part de l'auteur de réussir à rendre cette personne attachante.


    Je n'ai pas trouver de longueur du tout en le lisant.


    À tout ceux qui n'aiment pas les policiers, vous ne pourrez pas ne pas aimer Lessard, Taillon, le Gnome, Delaney et Le Kid.


    Vous trouvez que je vous en dis pas assez ? C'est de valeur, mais c'est tout se que vous aurez, vous en savez déjà trop, et Lessard pourrait devoir enquêter sur moi si j'en divulgue trop, alors...


    Je note ce magnifique polar de 9.5/10 ( faut quand même pas lui donner une note parfaite, hein Mr Michaud loll )


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  • Voici une séries d'articles nommé Web 101. Ces articles serviront à vous expliquez certaine choses du web, de manière la plus simple que je pourrais le faire.

    Web 101 n'aura pas toujours le nom “séries facebook, site web, blogue” dans le titre et partie 1 ou 2 ou 3 non plus. La raison pour lequel je l'ai écris aujourd'hui est que je vous expliquerez en quelques parties les différences entre un profil facebook, page facebook, groupe facebook, site web et un blogue, car plusieurs personne, même ceux qui utilisent régulièrement ses plateforme, n'utilisent pas les bons termes au bon endroit et cela me fatigue un peu car dans une discutions portant sur le web, quand quelqu'un n'utilise pas le bon terme pour se faire aider, cela complique l'aide à apporter.

     

    Voici la première partie de ce Web 101 : Le profil facebook


    ( Crédit images : Emmanuel Lapointe )

    Lorsque vous vous connectez, ou vous inscrivez, sur facebook, la page que vous voyez par la suite est celle ci-haut, qu'on appelle accueil ou encore “newsfeeds”“fil de nouvelles”. C'est là que vous suivez se que vos ami(e)s ou les pages au quelle vous êtes abonnées écrivent ou publie.

    Par la suite vous avez ceci si vous cliquez sur votre propre nom en haut à droite :


    ( Crédit image : Emmanuel Lapointe )

    Ceci est votre profil appeler aussi “mur”, vous y publier vos photos, vidéos, vos partages de d'autres site se retrouve la aussi et bien d'autre options. Il ne ressemble en rien à un site web ou page web comme certain s'amuse à dire.


    S'il vous plaît, lorsque vous parler de votre profil facebook, ne déformez pas ou ne remplacez pas les termes déjà utilisé pour celui-ci, on appelle sa un profil facebook, rien d'autre.



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  • Depuis le mois de mars 2012 environ, je vais tous les mois à la librairie liber, pas loin de chez moi. J'ai remarquer une chose depuis. C'est que tout style de magasins confondu, cette librairie a le meilleur service que j'ai vue dans ma vie jusqu'à présent.

    Peu importe la température, leurs états d'âme, ou autres, les clients ne se rende pas compte s'il sont pas dans une bonne journée.

    Toujours sourire aux lèvres, très accueillant avec nous, et toujours prêt à répondre à nos questions sans nous faire voir qu'ont les dérange ( comme dans plusieurs magasins, qui eux nous font sentir comme des moins que riens. )

    Bref, je voulais les remercier de nous faire sentir comme des humains, car maintenant, c'est rare d'avoir se sentiment d'être un humain dans un commerce.

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  • Rockmelt est un navigateur social, c'est à dire qu'il intègre les réseaux sociaux facebook, twitter et autres directement dans le navigateur.

    Je l'ai tester et il fonctionne très bien. Il est basé sur le script de Google Chrome, donc pour les habituer de chrome, vous vous retrouverez facilement. Le plus gros défaut de ce navigateur, c'est qu'il est anglais. J'ai chercher dans les options, mais aucune n'est en place pour mettre le navigateur en français.

    Pour l'installer, c'est simple, commencer par aller sur ce lien pour le télécharger : ROCKMELT et cliquez sur Download.

    Une fois télécharger dans votre ordinateur, installer-le, vous verrez ceci :



    Vous lui laissez le temps de terminé l'installation et ensuite ceci :



    Vous attendez encore qu'il ai terminé et vous entrer les infos demander si besoin. Ensuite vous verrez ceci :



    Cous devez cliquez sur se connecter avec facebook pour que cela fonctionne. Ensuite ceci :



    Choisissez les apps que vous aimeriez avoir dans votre navigateur ( ils apparaîtrons dans une barre latéral gauche une fois terminé ). Ensuite vous verrez ceci :


    Cliquez pour voir l'image en pleine grandeur.


    Et voila, votre navigateur Rockmelt est installer et prêt à explorer.



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