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    Le temps du pardon est arrivé. Volontairement exilé au monastère de Qui’o, Zâa se décide enfin à rentrer chez lui et à faire la paix avec ses parents. Hélas, leurs retrouvailles sont ternies par des événements tragiques qui bouleversent son village natal. Le Gur’ a mystérieusement disparu, tandis que son apprenti a été sauvagement assassiné.

    Alors que Zâa décide de mener l’enquête, on le rappelle d’urgence à Anthara, car l’heure est grave. Les terres de l’Ombre menacent en effet de déclarer la guerre à Nosil’Yam. Qu’à cela ne tienne. Zâa veut bien s’assurer qu’on ne précipitera rien, mais il a dans l’immédiat une autre mission à accomplir.

     

     

     

    Mon Avis :

    J'ai bien aimé ce 3ième tome. Une suite que j'avais hâte de lire et j'ai aussi hâte de lire le prochain tome, car je ne doute pas qui en ai un 4ième vue la façon dont celui-ci se termine.

    Zâa pense que son retour chez lui sera reposant, mais non. Il n'a même pas le temps d'arriver que déjà il doit repartir à l'aventure.

    Dans le tome 1, Zâa était un jeune adolescent comme les autres, maintenant, il est un jeune adulte qui à pris beaucoup de maturité.

    Je ne sais pas trop quoi vous dire à propos de ce livre, je l'ai aimé mais je n'ai pas d'idée pour écrire, et si j’attends trop avant d'écrire, je vais avoir seulement les idées des autres livres que j'aurais lus loll.

    Bref, voici un extrait :
    - En plus, j'honore toujours mes contrats. C'est avec les Houlaïs que je vais traiter, pas avec vous. Alors, dégagez, avant qu'on vous abatte et qu'on vous bouffe tout cru !
    - Bon, très bien, vous ne nous laissez pas le choix, fit Zâa en sortant une boul'éclair de sa poche. Shagar encocha une de ses flèches meurtrières et Oogun leva ses mains, prêt a jeter un sort.

    9/10 pour ce livre

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  • Je vais participé à partir du 1 Janvier 2013 au 31 Décembre 2013 au challenge « New PaL 2013 » organiser par Yukarie sur son blogue mais également via Livr@ddict

    Voici les informations sur ce challenge :

    Pourquoi ce challenge?
    Nous sommes bientôt en 2013... et qui dit "nouvelle année" , dit "nouvelle résolution"! C'est pourquoi je vous propose de renouveler ce petit challenge.


    Les dates:
    Les inscriptions commencent dès maintenant et se termineront le premier de l'an.
    Elles sont ouvertes a tout le monde.
    Vous aurez donc du 1er janvier au 31 décembre 2013, soit au total un an, pour réaliser ce challenge.

    Objectif:
    Avoir lu tous les livres de sa PAL de cette année en 2013 (ou du moins le maximum). Cela permettra simplement d'éviter que des livres achetés il y a longtemps continue d'être dans un coin.

    Comment participer:
    - Vous inscrire ici-même ou sur mon blog en laissant un commentaire.
    - Me donner votre Pal de 2012 entre le 28 et le 31 décembre (car avant elle peut encore être modifié, surtout après noël)!
    - Me tenir informer de votre évolution en m'indiquant les liens de vos avis de préférence ici!

    Important:
    Un blog a été créé l'année dernière pour mettre en ligne vos chroniques, seulement cette année, il ne sera la que pour faire un compte rendu du challenge(ici)! J'y insérerais vos PAL et vos lien de blog comme l'année dernière et je les complèterais avec les liens que vous me donnerais ici. Merci de lire la page d'accueil et les règles du challenge!

    Pour votre PAL, plutôt que de la recopier, envoyez-moi le fichier pdf fourni par Livraddict! Ce sera plus simple pour tout le monde!
    Si elle n'est pas complete sur LA, j'accepte aussi les pal manuelle du moment qu'elles sont classés par ordre alphabétique dft009

    S'il y a la moindre question, n'hésitez pas!

    Récompenses:
    - Médaille d'Or (entre 75 et 100%)
    - Médaille d'Argent (entre 50 et 75%)
    - Médaille de Bronze (entre 25 et 50%)
    - Médaille de Chocolat (entre 0 et 25%)

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    Voilà, si vous voulez participer, cliquez sur un des liens sous la bannière du challenge.

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    L’avocate Julie De Grandpré a disparu depuis trois semaines. Tout ce que l’agent Mathieu Langlois sait d’elle au moment de commencer l’enquête, c’est que dans les corridors du palais de justice, on l’appelle « la Sorcière ». Ce surnom lui aurait été attribué parce qu’elle a quitté la Couronne pour représenter la défense et qu’elle coucherait avec ses clients, des criminels.

    Qui pourrait en vouloir à une telle avocate ?

    Est-elle toujours en vie ? En suivant sa trace, l’enquêteur se fera une idée sur la jeune femme mystérieuse et ses fréquentations douteuses jusqu’à ce que deux journalistes se greffent à l’enquête et lui révèlent qu’elle est peut-être au coeur d’un scandale judiciaire.

     

     

     

    Mon Avis :

    Julie De Grandpré est-elle une si mauvaise personne ? Je ne crois pas. Est-elle du mauvais côté de la justice ? Ça d'après moi, oui.

    Suite à la lecture de ce roman de Sophie Bérubé on en viens à ce demander si ce genre de chose, l'intrigue du roman que je ne divulguerais pas, évidemment, arrive souvent en justice et j'aurais tendance à pensé que oui.

    Mathieu Langlois se fait niaiser par certain agent du SPVM ( Service de police de la ville de Montréal ) car c'est lui qui doit enquêter sur la disparition de Maître Julie De Grandpré. Pourquoi ils le niaise ? Car ils connaissent le passé de De Grandpré alias La Sorcière.

    Mathieu traite les disparut comme des clients, quelque soit la raison de la disparition, cependant, il prend de plus en plus au sérieux cette enquêtes, comme si il tombais tranquillement amoureux intérieurement de la Sorcière.

    À un certain moment de l'enquête, il va même jusqu'à embrasser une femme pour des renseignements ce qui fait en sorte qu'il passe à 2 doigts de perdre sa femme et sa fille.

    L'intrigue comporte également des gangs de rue, la mafia, violeurs ainsi que d'autre criminel.

    Perso, j'étais loin de me douter de la tournure des événements en avançant dans le livre. Nous avons des doutes, mais c'est doutes sont-ils bon ?

    En voici un extrait :
    Finalement, Marc se dit qu'il n'a pas trop perdu la main pour flatter la police dans le sens du poil. Et Paul Martel, avec son gros ego, est la cible idéale. Après quelques appels, il finit par trouver le numéro des voisins de Julie De Grandpré. Ceux qu'il réussit à contacter disent ne pas connaître personnellement la belle avocate et n'avoir rien remarqué de spécial en ce qui concerne leur voisine ou le va-et-vient autour de son appartement. Par contre, l'un d'entre eux emploie la même femme de ménage et c'est de cette façon que Marc obtient le nom et le numéro de celle-ci. Dès qu'elle comprendra qu'il est journaliste, Nancy Duhaime lui raccrochera au nez, en lui disant que c'est dégueulasse de l'appeler à ce sujet, qu'elle est déjà suffisamment traumatisée comme ça. Il pourra donc la citer dans parler de « sources policières ». En parlant avec quelques procureurs, il confirme aussi le fait qu'on surnomme la jolie disparue « la Sorcière » et qu'on la soupçonne de fricoter avec les criminels. Il sent l'excitation monter au fur et à mesure qu'il imagine le contenu de son article du lendemain. À moins d'un changement majeur, il sera titré « Magie noire ou enlèvement ? ».

    Voici ma note :

    9.5/10 car j'en aurais pris plus à la fin.

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  • À Montréal, juste avant Noel, un homme et une femme meurent le cou transpercé par ce qui semble être un instrument de torture sorti tout droit du Moyen Äge. Auparavant, ils ont entendu la voix de Lee Harvey Oswald, l'assassin présumé du président Kennedy.

    Un sans-abri se jette du haut d'un édifice de la place d'Armes. Ayant séjourné à plusieurs reprises en psychiatrie, il prétendait avoir participé, avec le FLQ, à l'assassinat de Pierre Laporte. Sur le toit, avant de sauter, il laisse deux portefeuilles, ceux des victimes.

    La série de meurtres se poursuit, les cadavres s'empilent...

    De retour à la section des crimes majeurs, le sergent-détective Victor Lessard mène l'enquête avec, pour le meilleur et pour le pire, la colorée Jacinthe Taillon.

    Je me souviens parle d'identité à bâtir, de mémoire à reconstituer et de soif d'honneur.

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    Bio de l'auteur


    Martin Michaud a quarante-deux ans et habite à Montréal. Ses deux premiers romans, Il ne faut pas parler dans l'ascenseur et La chorale du diable, ont obtenu un succès littéraire fulgurant et lui ont valu d'être reconnu comme l'un des meilleurs écrivains de romans policiers Québécois. Il revient en force avec Je me souviens, la troisième enquête du personnage qu'il a popularisé, Victor Lessard.


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    Extrait :



    - Écoutez, je n'ai pas été un de ses médecins traitants... Mais, pour en avoir déjà parlé avec des collègues, si ma mémoire est bonne, Laporte, c'était une de ses lubies. Lortie prétendait avoir participé à l'opération. Ce qui est faux, évidemment : les felquistes impliqués, on les connaît tous depuis longtemps. Vous voyez, ça, c'est un bon exemple de délire mégalomaniaque : une surestimation de soi qui n'est pas conforme à la réalité. Les inscriptions que vous avez vues sur les cartons sont donc probablement le fruit de ses délires.



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    Mon avis : Première partie


    Martin Michaud a su me charmer avec son premier polar : IL ne faut pas parler dans l'ascenseur, par contre, je n'ai pas réussi à terminé son second : La chorale du diable, peut-être si je le relisais aujourd'hui que se serait différent, qui sait ?


    Celui dont il est question aujourd'hui, j'ai adoré.


    Je me souviens est une troisième enquête de Victor Lessard, cet enquêteur formidable.


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    Extrait :



    Le sergent-détective tourna l'écran dans leur direction. Sur le site de la faculté de psychiatrie de l'Université McGill, il avait accédé à une page consacré aux recherches menées par Judith Harper. Là, parmi la liste de ses publications, deux titres avaient attiré son attention : ...



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    Mon avis : Deuxième partie


    L'histoire de ce polar est super. Nous retrouvons encore une fois Victor Lessard sur cette enquête policière avec ça comparse Jacinthe Taillon, surnommé affectueusement “La grosse Taillon”.

    Une histoire relativement sanglante puisque deux des principaux meurtres de l'enquête est fait avec une arme du Moyen Âge transperçant le cou des victimes.

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    Extrait :



    Alors qu'il voguait encore de torpeur en torpeur, on avait dessanglé Nathan Lawson du lit pour lui fixer dans le cou un collier muni d'une tige aux pointes acérées qui, pénétrant la chair de son thorax et de sa gorge, sous le menton, lui maintenait la tête vers l'arrière à un angle de quarante-cinq degrés, rendant sa déglutition pénible et l'empêchant de respirer normalement.



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    Mon avis : Dernière partie


    Les indices sont placer aux bons endroits et de façon à se que l'ont soupçonne les mauvaises personnes tout au long du roman.


    Nous voulons connaitre la suite du polar lors de la lecture tout en aillant pas le gout de le terminé.


    Nous réussissons même à s'attacher  la personne qui fait les meurtres, faut le faire de la part de l'auteur de réussir à rendre cette personne attachante.


    Je n'ai pas trouver de longueur du tout en le lisant.


    À tout ceux qui n'aiment pas les policiers, vous ne pourrez pas ne pas aimer Lessard, Taillon, le Gnome, Delaney et Le Kid.


    Vous trouvez que je vous en dis pas assez ? C'est de valeur, mais c'est tout se que vous aurez, vous en savez déjà trop, et Lessard pourrait devoir enquêter sur moi si j'en divulgue trop, alors...


    Je note ce magnifique polar de 9.5/10 ( faut quand même pas lui donner une note parfaite, hein Mr Michaud loll )


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  • Depuis le mois de mars 2012 environ, je vais tous les mois à la librairie liber, pas loin de chez moi. J'ai remarquer une chose depuis. C'est que tout style de magasins confondu, cette librairie a le meilleur service que j'ai vue dans ma vie jusqu'à présent.

    Peu importe la température, leurs états d'âme, ou autres, les clients ne se rende pas compte s'il sont pas dans une bonne journée.

    Toujours sourire aux lèvres, très accueillant avec nous, et toujours prêt à répondre à nos questions sans nous faire voir qu'ont les dérange ( comme dans plusieurs magasins, qui eux nous font sentir comme des moins que riens. )

    Bref, je voulais les remercier de nous faire sentir comme des humains, car maintenant, c'est rare d'avoir se sentiment d'être un humain dans un commerce.

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